Vendre - Acheter - Investir au Québec, Canada

Que vous souhaitiez acheter, vendre ou investir au Québec, que vous soyez prêt à passer à l’action ou encore en pleine réflexion, il est essentiel de structurer vos démarches et de bien vous positionner sur le marché. Nous vous aidons à faire les bons choix, au bon moment, avec les bons outils.

Questions fréquentes

  • Faut-il tout connaître avant d’afficher son entreprise à vendre?

    Pas du tout. Même si vous n’avez pas encore toutes les données précises en main, il est tout à fait pertinent d’afficher votre entreprise avec les informations dont vous disposez. Les acheteurs sérieux recherchent des repères concrets — chiffre d’affaires estimé, prix souhaité, localisation, potentiel — pour évaluer rapidement si une opportunité correspond à leurs critères.

    Plus votre fiche est claire, plus elle inspire confiance et attire les bons profils. Une annonce bien structurée vous permet aussi de filtrer les curieux et de gagner du temps dans vos échanges. Et surtout, rien n’est figé : vous pourrez toujours ajuster ou compléter votre annonce par la suite, selon l’évolution de votre démarche.

  • Si je vends par moi-même, est-ce que certains experts restent essentiels?

    Absolument. Même si vous choisissez de vendre sans courtier immobilier ou intermédiaire, certains professionnels peuvent grandement sécuriser votre démarche. Un fiscaliste peut vous aider à comprendre les impacts fiscaux de la vente, un comptable à structurer vos données financières, et un avocat ou notaire à rédiger les documents juridiques essentiels. Selon la nature de votre entreprise ou propriété, un évaluateur agréé ou un conseiller spécialisé peut aussi vous aider à établir un prix réaliste. Ces experts n’interviennent pas dans la négociation, mais leur soutien vous permet de vendre de façon claire, conforme et avantageuse , tout en gardant le contrôle sur votre processus.

  • Quand penser à vendre et comment se positionner sur le marché ?

    Il n’y a pas de moment parfait pour vendre, mais il y a des signes qui ne trompent pas : essoufflement, envie de changement, absence de relève, ou au contraire, une forte croissance à valoriser. L’important est de ne pas attendre une urgence pour commencer les démarches.

    En vous positionnant tôt et stratégiquement sur le marché, vous aurez le temps de préparer votre dossier de vente, lister des acheteurs sérieux, et vous positionner sur le marché.

  • Est-ce le bon moment pour acheter ou investir dans une entreprise, malgré l’incertitude du marché?

    C’est une question légitime — et beaucoup d’acheteurs se la posent actuellement.

    Le marché actuel présente une opportunité unique pour les acheteurs avertis. Avec une vague de départs à la retraite à venir, plusieurs entreprises cherchent preneur. La baisse de compétition dans certains secteurs crée un contexte favorable pour repérer des occasions solides.

    Le Canada demeure un environnement d’affaires stable, sécurisé et encadré, avec un système bancaire robuste et un droit des affaires clair. Plusieurs programmes de soutien à la relève et d’accompagnement à la reprise sont toujours actifs, surtout en région, allégeant les démarches pour les nouveaux acquéreurs.

    Pour les investisseurs internationaux, l’immigration d’affaires peut également servir de levier stratégique. Reprendre une entreprise existante peut faciliter l’établissement, notamment via des programmes comme la Mobilité francophone, qui permet une intégration rapide sans EIMT. Se positionner dès maintenant, c’est miser sur une valeur durable à moyen terme.

  • Immigration pour investisseurs ou immigration pour entrepreneurs ?

    Pour plusieurs investisseurs et entrepreneurs internationaux, la reprise ou l’achat d’une entreprise au Canada est parfois considérée comme un levier d’immigration économique. Certains programmes facilitent ce type de démarche.

    L’immigration pour investisseurs et l’immigration pour entrepreneurs sont deux volets distincts de l’immigration économique au Canada.

    L’investisseur apporte un capital financier à un programme défini (souvent avec dépôt passif ou contribution au développement économique d’une province). Il n’a pas toujours à gérer activement une entreprise, mais doit démontrer la provenance et le volume de son capital.

    L’entrepreneur, quant à lui, doit créer ou reprendre une entreprise au Canada, s’en occuper activement, proposer un plan d’affaires, et généralement créer des emplois locaux. Il s’agit d’un projet de gestion sur le terrain, et non d’un simple placement.

    Chaque province canadienne peut avoir ses propres programmes (PNP – Programmes des candidats des provinces) avec des critères précis :

    • Montant minimal d’investissement
    • Valeur nette personnelle exigée
    • Expérience en gestion
    • Création d’emplois
    • Engagement à résider et exploiter l’entreprise sur le territoire

    ⚠️ Ces programmes sont gérés par les autorités d’immigration et peuvent changer régulièrement. Il est essentiel de valider les critères à jour avec un avocat en immigration d’affaires ou un consultant autorisé.

    Notre plateforme vous informe à titre indicatif sur ces options, mais ne fournit aucun service d’immigration ou d’interprétation juridique.

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  • Saint-Mathias-sur-Richelieu, Québec

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